
Les répondants à un sondage seraient prêts à contribuer financièrement au verdissement des anciennes mines d’amiante, selon la Chaire de recherche du Canada en économie écologique de l’UQO.
Une étude réalisée par cette chaire démontre que plus de 80 % des résidents sondés souhaitent transformer les anciennes mines et les résidus d’amiante en de nouveaux espaces verts.
Et ils seraient même prêts à débourser de 5 $ à 25 $ par année pendant trois ans pour financer le projet précise Ann Lévesque, doctorante à l’Université du Québec en Outaouais…
Les façons de donner une deuxième vie aux anciennes mines d’amiante sont multiples, mais la majorité priorise le stockage de carbone pour la lutte aux changements climatiques à 40 % des répondants.
Les autres préfèrent des aménagements pour les activités récréatives comme le VTT à 30 %, l’aménagement de parcs et de sentiers de randonnées à 14 % et la création de forêts naturelles pour les animaux sauvages à 16%.